L’Indice de Biodiversité Potentielle (IBP) permet d’évaluer le potentiel d’accueil d’un peuplement forestier pour les différentes espèces liées aux arbres et à la forêt. Depuis sa création en 2008, il s’est progressivement imposé dans le paysage forestier français car il répond à l’attente des gestionnaires de disposer d’un outil simple et rapide d’utilisation. Mais il a également dépassé les frontières, avec aujourd’hui des partenariats dans 16 pays de l’Europe et du Bassin méditerranéen. Ce numéro de Forêt & innovation fait le point sur cet outil et ses avancées récentes.
Un dossier coordonné par Pierre Gonin (CNPF-IDF) et Laurent Larrieu (CNPF, INRAE).
Au sommaire du dossier
- Indice de Biodiversité Potentielle : bilan après 15 ans d'évolution et d'utilisation
- Présentation de l’Indice de Biodiversité Potentielle
- Marine Lauer : « Nos formations à la biodiversité font connaître l’IBP »
- F.-X. Courau : « Environ 10 % des PSG que je rédige incluent un volet biodiversité »
- M Samoyeau « Le but d’un diagnostic IBP est de formuler des recommandations sur la gestion sylvicole »
- Une notation écologique des arbres dérivée de l’Indice de Biodiversité Potentielle
- L'utilisation de l’IBP progresse en Europe et dans le Bassin méditerranéen
- Comment l’IBP renseigne-t-il sur les espèces actuellement présentes dans les peuplements ?
- Une nouvelle version de l’IBP v3.0 harmonisée au niveau international
- Comment utiliser l’Indice de Biodiversité Potentielle pour mieux discriminer
- certains peuplements et dans les études ?
- Les dendromicrohabitats de l’IBP adoptent le standard européen
- L'IBP pour quels usages ? Exemples en Provence-Alpes-Côte d’Azur
- La diffusion de l'Indice de Biodiversité Potentielle en Italie
- L'Indice de Biodiversité Potentielle en Catalogne
Également dans ce numéro :
- Sylviculture - Les dessous du chêne rouge d’Amérique en Nouvelle-Aquitaine
- Environnement - Faire parler les racines